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Aaron H. Woodsworth
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le petit mot doux de Aaron H. Woodsworth qui boit son thé le Sam 18 Aoû - 0:01 ► réponds-lui !


Aaron & leilani- le triple h qui va conquérir les plages.Pourquoi parlais-je de cravates ? Je n’en savais rien. L’ennuyer ou la taquiner. Cela n’était point un détail important. Une façon de me détendre ? Plaisanter. J’étais nerveux d’une façon ou d’une autre. Et si jamais je faisais une erreur ? Elle était mon employé. Je n’avais jamais eu d’employé mais seulement des soldats qui n’avaient pas vraiment les bons services de tables, si on puit dire. J’étais patron, merde. Un moment d’hésitation. Un moment de courage. Je voulais me battre contre le lion en moi. Je voulais m’empêcher d’aller trop loin. Mais non. Je ne pouvais plus arrêter le rouage. Une part de moi désirait qu’elle m’arrête. L’autre part désirait le contraire. Laquelle était la plus forte ? Je n’en saurais que dire. J’étais là, face à elle. Caressant sa peau du bout de mes lèvres. Si douce. Enivrante. Une sensation que je n’avais plus goutée depuis des mois. J’avais faim. Je n’avais plus mangé depuis des mois. Allais-je être capable d’attendre le dessert. Alors que je détachais sa robe, je la voyais m’aider un peu. La laissant tomber au sol. Elle n’en était pas plus sage. Elle m’aidait. Sa main venait alors se poser sur mon « dessous en tissus », caressant mon h. Une robe en moi. Un monde plus sain. J’allais alors en direction du fauteuil, apparemment. Je m’installais, attendant alors qu’elle se rapproche et détestant encore ce bureau de ne pas avoir un lit. Mais mon dieu, c’est un hôtel. Réduction budgétaire sur les matelas ? Pourquoi le boss n’avait pas droit à un matelas confortable pour ses siestes ? Ou simplement pour éviter ses enfants. Elle s’installait alors à califourchon tandis que je dégageais un coussin se trouvant dans mon dos. Pas vraiment agréable ce coussin. Je le balançais plus loin. Plus rien ne répondait de moi. Je n’avais plus vraiment de pensés. Enfin si mais disons que plus rien n’était prêt à m’arrêter. Je ne voulais plus arrêter. J’étais fichu. Ses baisers divins m’enivraient. Savait-elle qu’elle était une drogue dangereuse. J’étais un drogué anonyme. Oui, vraiment. Elle était une drogue que je n’avais plus goutté depuis quelques mois déjà. Beaucoup trop longtemps. Une torture. Cela pouvait être une torture aussi d’être là. Dessous elle. En petite tenue. Je me laissais faire. Je la sentais se glisser entre mes jambes. Je savais ce qu’elle s’apprêtait à faire et j’ignorais sincèrement si c’était une bonne idée. En d’autres mots, je suis en manque. Je ne vais pas aller chercher plus loin que le terme exact pour ça. Mais je la laissais faire. Allais-je tenir ? Je n’en savais rien. Elle jouait un jeu vraiment dangereux. Et je ne savais pas si j’allais pouvoir jouer vraiment. Trop fragile ? Trop en manque, oui. C’était cruel. Elle jouait avec mon h et je me contentais simplement de tenter à survivre. Difficile. Mon souffle le prouvait. Mon plaisir aussi. Je la laissais me rendre dingue. Les moindres sensations m’envoyaient en enfer, l’enfer de la retenu. Je ne devais pas craquer. « C’est cruel, j’ai vécu des mois avec des soldats syriens… », lâchais-je alors d’un souffle pour lui faire comprendre tout de même ma position mais surtout par humour. On pouvait ressentir l’humour dans le moindre ton employé entre mes souffles coupés. Je la ramenais alors rapidement à moi en me relevant. Inversant la situation. C’était à mon tour de la faire monter un peu dans les sonotones. Des caresses. Les mains. La langue. Je m’employais à venger ma résistance peu puissante. Après de longues secondes ou peut-être des minutes. Je n’avais pas une montre à la main. Non. J’avais mes mains caressant ses cuisses halées. Je lui offrais un sourire, revenant à sa rencontre. Je reprenais alors ses lèvres, enfin celles de son visage cette fois. Aussi tordu soit cette phrase. « Mon dieu, il faut un lit dans ce bureau… », murmurais-je alors en riant. « On est dans un hôtel quand même… », ce murmure lâché, je lui mordillais la lèvre tout simplement avant de glisser une main dans son dos, l’emportant avec moi sur le sol. Je me mettais par-dessus elle, reprenant alors ses lèvres. Parcourant alors son corps de mes lèvres. Le parsemant de baisers comme de fromages un plat de bolognaise. Ouais bah j’ai faim, je n’ai pas diné. J’ai faim de tous les côtés de la métaphore autant figuré qu’employé. Finalement à ses lèvres, je ne prenais pas une seconde pour me demander si nous faisions une bonne chose. A quoi bon ? Je lui souriais simplement en reprenant ses lèvres tandis que je m’apprêtais à ne faire plus qu’un avec elle. En d’autres mots, je jouais aux lego à ce moment-même. Les va et vient se laissaient filer au fil du temps. Je tentais de faire durer le plaisir autant que je le pourrais. Je ne voulais pas lui gâcher le plaisir. Je voulais l’attendre. Je voulais grimper aux petites étoiles, très loin, genre krypton par exemple. Je voulais faire boom avec les chocapics. Je ne voulais pas la lâcher avant d’atteindre le but. Non. Hors de questions. Je faisais mon possible. Parfois rapide, parfois lent. Parfois lent, parfois rapide. Cela revient au même ? Roh et qu’importe. J’étais ivre de plaisir, je ne réfléchissais plus que comme un drogué qui avait repris sa coke après un long moment d’abstinence. Je ne réalisais même pas avoir oublié un détail crucial… la capote. Ça existe encore ce bazar. Merde. On y penserait bien à un moment. Un jour. Peut-être. Ce n’était même pas voulu puisque même la joueuse vient de le réaliser. Une fois les étoiles atteintes et le petit liquide… vidé ? Je restais quelques secondes au-dessus d’elle, admirant un spectacle que j’avais toujours aimé. A mes yeux, il n’y a rien de plus beau que l’orgasme d’une femme. En espérant qu’elle ne fasse pas semblant en général mais j’adorais voir une femme ressentir du plaisir. Cherchez pas, je suis bizarre. Ou peut-être pas ? On en parlait peu avec les soldats. Je ne savais pas si j’étais de ces hommes. Je me laissais alors glisser à côté d’elle. Heureusement que c’est une moquette.

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Leilani Akeloa
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le petit mot doux de Leilani Akeloa qui boit son thé le Dim 19 Aoû - 19:29 ► réponds-lui !


Aaron & leilani- le triple h qui va conquérir les plages. Même si depuis la naissance de Tia j'essaie de faire attention aux personnes que je ramène à la maison, je dois bien l'avouer je suis une femme qui a elle aussi des besoins. Et si je cherche à protéger ma fille en gardant ma vie sentimentale au maximum secrète à moins que je ne sois sur, je dois avouer que de temps en temps il m'arrive d'avoir quelques rapports sans lendemain. Vous savez, au cours de ses soirées ou vous avez un rencard avec un homme hyper canon, mais qu'au fond vous comprenez que cela ne pourra pas coller. Dommage, car ce même homme à un corps hyper sexy que vous aimeriez bien voir de plus près. On peut dire que le coup d'un soir est l'alternative justement au fait d'avoir des rapports avec un homme sans contrainte et sans devoir attendre que la relation soit suffisamment stable pour coucher avant de passer à autre chose. Attention, ses rapports sont toujours accompagnés de préservatifs bien évidemment ! Sortez couverts comme dirait l'autre ! Enfin, c'est moi qui dit cela quand on y pense, ce soir je me suis comportée comme une adolescente qui n'a pas conscience des risques. D'abord, je venais de me jeter au coup de mon nouveau patron après à peine quelques minutes de discussions et ensuite, nous avions oublié les préservatifs. D'un côté, je prend la pilule ce qui évite les accidents de parcours, par contre niveau maladie, j'avoue que sur ce coup là, aucun de nous n'a réfléchit. Dans le feu de l'action nous avons complètement oublié ce détails. Bon, lorsque Aaron me dit que c'est cruel pour lui car il n'a connu que des soldats en Syrie, cela me rassure. Au final, il n'avait pas eu besoin de protection de son côté puisqu'il n'avait rien fait ! «Ca va aller tu vas voir ! » dis-je pour l'encourager à continuer. J'avais bien compris ou il voulait en venir, il n'avait pas eu de rapport depuis un moment et il devait certainement avoir peur de ne pas « assurer ». D'un autre côté, si il ne se lance pas il ne saura jamais et puis il est un peu tard pour faire demi-tour maintenant puisque finalement, cela ne le rebut pas plus que cela puisqu'il me fait basculer et m'accompagne sur le sol avant de venir se positionner au dessus de moi. Je le laisse mener la danse afin de le rassurer un peu plus et afin qu'il aille à son rythme. Nos corps sont maintenant enlacés, collé l'un contre l'autre alors que je sens la chaleur de son souffle venir réchauffer mon corps. De mon côté, j'accompagne ses mouvements de va-et-vient de petit gémissement de plaisir de quittant pas son regard azur des yeux alors que mes mains se baladent sur son corps et plus particulièrement sur ses hanches pour l'encourager à continuer. Mon corps frissonne à chaque fois que ses lèvres viennent au contact de ma peau et j'ai comme le sentiment que quelque chose de spécial se passe à ce moment précis. J'avais connu plusieurs hommes ses derniers mois, mais avec aucun d'eux je n'avais ressentis ses frissons. Était-ce l'excitation de braver les interdits puisque je couche avec mon patron dans un lieu qui est plus qu'insolite puisqu'il s'agit de son bureau, ou alors simplement parce que nos deux corps, ainsi que nos deux esprits dans cette danse horizontale si sensuelle se comprennent parfaitement ? Dans tous les cas, il ne fallut pas plus longtemps pour que mes mains se crispe sur son dos alors que je me retiens à lui pour ne pas m'envoler trop rapidement vers le septième ciel. Je prend un moment pour me remettre de mes émotions. Mes yeux restent fermés alors que je tente de revenir sur Terre doucement, mais sûrement. Je sens Aaron glisser sur le côté. Je tourne la tête vers lui en lui adressant un grand sourire avant de venir déposer un baiser sur ses lèvres. Je me tourne alors sur le côté, plaçant ma main sur son torse, mes doigts se baladent sur sa poitrine et parfois même jouent à retracer les cicatrices de guerre qu'il a sur son corps. « Tu ne devrais pas douter de tes capacités, pour quelqu'un qui n'a connu que les soldats syriens pendant des mois, je trouve que tu t'en ais bien sortit. »  je laisse échapper un petit rire après l'avoir taquiné sur le rapport que nous venions d'avoir tout en l'observant. Il était beau, ses yeux azur me font réellement craquer et il avait l'air si paisible comme cela. «C'est dingue ça quand même ! Tu as raison, on est dans un hôtel ou il y a des dizaines de chambres et le seul endroit que l'on trouve pour faire l'amour s'est ton bureau. »  de nouveau je laisse échapper un petit rire. «On était trop impatient c'est pour ça. »  enfin « on » pouvait se caractériser par « moi ». Je l'avoue, c'est moi qui lui avait sauté dessus alors que lui avait fait en sorte de se retenir depuis ce moment sur la plage. Il avait à plusieurs reprise tenté d'arrêter et pourtant, je l'avais poussé à continuer. Au final, lui non plus n'avait pas résisté, mais je dois bien avoué que j'y suis pour beaucoup. La question que je me pose maintenant est que va-t-il se passer maintenant ? On vient de coucher ensemble et ? La suite ? Que va-t-il se passer ? Est-ce que cette relation va rester strictement professionnelle ? Est-ce que ce n'était qu'un coup d'un soir pour satisfaire une envie passagère et demain nous passerons à autre chose ? Il y a tellement de questions qui se bouscule dans ma tête, je dois avouer que la situation est un peu...spéciale. Mais au moment ou je compte me lancer et lui poser la question, mon téléphone se met à sonner. Je me redresse pour attraper mon sac à main et à peine avais-je mis la main dessus que celui de Aaron se mit à sonner. Je tend alors la main sur le bureau pour l'attraper aussi avant de lui tendre alors qu'au passage je peux voir le nom de Oana s'afficher. Lorsque je décroche mon téléphone, il s'agit de Tia qui s'impatiente de me voir rentrer. Il est vrai que j'avais prévenu les filles que je rentrais plus tard, mais la il était vraiment très très tard. « Bonsoir ma chérie, est-ce que tout vas bien ?....Oui, tout vas bien de mon côté ne t'inquiètes pas...non, je ne me suis pas faite enlever par des extraterrestres Tia, je suis juste...au travail...oui...encore. Je ne vais pas tarder, je vais arriver d'ici quelques minutes ne t'inquiètes pas. A plus tard, je t'aime. »  Comme je le disais plutôt, sur ce coup là nous avions agit comme des adolescents insouciants et nous en avions même oublié nos enfants. Même si sur ce coup là je n'avais pas étais la plus superbe des mamans, je dois avouer qu'être légèrement insouciantes et prendre du temps pour moi même m'avait fait énormément de bien...ou alors était-ce Aaron ? Dans tous les cas, je suis sur un petit nuage il n'y a pas à dire. « Le devoir nous appelle je crois. »  Je lui souris après mettre allongé de nouveau à ses côtés alors que ma tête viens se poser dans le creux de son bras. Je tend alors le prend dans laquelle je tiens ma robe toute humide qui était en boule maintenant. « Je crois que je devrais rentrer, Tia s'impatiente et ta fille veut certainement rentrer se reposer...Dis moi, est-ce que tu aurais des vêtements à me prêter ? Enfiler cette robe maintenant ça va être un calvaire puisqu'elle est humide. »  riais-je

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